3 Août : L. du s/s préfet au préfet
Je trouve la trace d'une proposition déjà faite directement à M. le Maire
de VP, c'est le retour à l'ancien état de choses, c'est-à-dire le paiement
au curé de VP d'une somme de 200 F pour le service de LV. Ce serait une
sorte de transaction, paraît-il. Je crois savoir que le CM est peu disposé
à le rétablir. C'est une question secondaire qui ne viendra en temps utile
que lorsque la paroisse de LV aura été supprimée".
Étonnement de trouver dans les observations de l'Ar. et dans les notes
du trésorier la déclaration que les signataires prétendent ne pas avoir
voulu prendre les engagements, envoi de la copie de ces engagements ; impossible
d'y découvrir la moindre réserve.
- relevé d'une contradiction : Il eut été pourvu par des ressources privées
au supplément de dépenses". Or, tous les efforts de la fabrique et de l'autorité
diocésaine tendent à prouver qu'il n'existe pas de ressources privées.
- rappel de la lettre du 21.6. "C'est à mon avis dans cette suppression
que réside la seule solution des difficultés de suppression interminables
qui existent actuellement à VP".
6 Octobre : L. de l'Ar. au préfet
- rappel de la lettre du 12.6; demande de solution rapide.
3 Novembre : L. du préfet à l'Ar.
- allusion à la dernière délibération du CM, à la dépêche ministérielle
et aux engagements des habitants de LV que le C de f regarde aujourd'hui
comme sans valeur, attendu qu'ils sont couverts essentiellement par des
ouvriers et des indigents, et qu'ils n'ont été produits qu'à titre de renseignement.
"En ce qui concerne les quêtes, le trésorier reconnaît qu'une somme de
47,55 F a été recouvrée, somme qui devrait figurer au compte. Il semblerait
que les autres articles de recettes dont l'absence est relevée par le ministre
n'ont pas un caractère d'exactitude bien marqué et que la fabrique n'a
eu en vue que d'arriver à constater un déficit permanent et constant de
300 F qui se répète avec périodicité. Le CM devait supposer que les engagements
étaient valables et on s'explique qu'il ne veuille plus, en présence de
cette situa-